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  • Approche globale de ce que doit être un habitat
Ce que devrait être un habitat

Certains réduisent l’habitat à un espace indépendant, clos, répondant à des normes sanitaires et de soi-disant confort…

Il doit être salubre, confortable, pérenne, écologique …

Je vous invite à découvrir ce que je pense de cet abord des choses dans mon ebook « Le confort ».

La résidence principale, qu’elle soit maison ou appartement, doit être infiniment plus qu’un simple espace de vie au quotidien!

Ne serait-ce que parce que c’est là où nous demeurons le plus longtemps au fil de notre vie, parce que, théoriquement, ce devrait être l’espace cocooning par excellence, penser qu’une habitation n’est qu’un “contenant” est une totale aberration.

Je vous propose dans cet article l’approche holistique qui devrait présider à nos choix, voire à nos obsessions !

Notre résidence principale, plus encore que les autres, résidence secondaire, passagère telle qu’une chambre d’hôtel par exemple, doit répondre à des critères que j’ai classés sous forme d’une efficacité à quatre niveaux : “pour les occupants”, y compris au plan du confort, “pour lui-même (le bâti)”, “pour l’environnement”, “pour la planète”.

Je vous les présente sommairement ici, chacun étant développé en détail dans un autre article.

Pour ceux qui le souhaitent, je vous propose dans un autre article ce que, je pense, devrait être un habitat dit écologique, en plus des “thèmes” présentés ci-dessous, il y a quelques bases supplémentaires à prendre en compte mais, écologique ou non, a minima il devra être conforme à ce qui suit.

Ce que je vous livre ici est une ébauche qui pose les bases d’une fonction généralement non assurée et que je dénomme le chaînon manquant de la rénovation ou de la construction :

  • l’analyste du bâti à améliorer ou à construire
    • déjà pas seulement le concepteur des volumes (fonction confiée normalement à l’architecte),
    • pas seulement le concepteur de la structure (qui revient légitimement au Bureau d’Etudes (BE) structure), 
    • pas seulement celui en charge de l’efficacité énergétique (qui dépend d’un BE thermie et/ou Espace Info Energie), 
    • et pas seulement l’économiste (… celui qui assure la charge de l’approche financière), 
    • pas seulement celui qui, cherche les aides et subventions diverses (une des causes des non performances présentées ci-après et développées dans un autre article,
  •  celui qui, globalement, devrait en capacité d’orienter le demandeur vers la solution la plus adaptée à ses aspirations, à ses moyens et aux contraintes inhérentes à tout projet immobilier, forcément diverses et variées.

Pour en savoir plus sur les besoins d’une analyse holistique d’un bien avant travaux, je vous propose le téléchargement gratuit de mon ebook dédié à ce sujet : Questions fréquentes sur l’habitat ancien. (Humidité, isolation…)

Il s’agit d’un besoin réel qui, bien que non satisfait aujourd’hui, devra l’être rapidement. 

  • En effet, malgré des dépenses énormes consenties au nom de la rénovation énergétique
    • peu ou prou 20 milliards par année entre 2014 et 2016 (ce qui n’a probablement pas diminué les années suivantes) 
    • seulement 5% des biens rénovés ont gagné 2 places ou plus dans le cadre d’un Diagnostic de Performance Energétique (DPE) 
    • et 20% ont gagné une place
    • dit autrement, 75% des biens ayant bénéficié de travaux de rénovation énergétique n’ont même pas gagné une place dans le cadre d’un DPE, ce qui ne veut pas dire qu’ils n’ont rien gagné, simplement que les résultats ne sont, et de loin, à la hauteur des sommes investies !
  • … Et pendant ce temps,
    • le dérèglement climatique nous dépasse, 
    • ses impacts sont de plus en plus graves et récurrents, 
    • nous consommons des ressources et des énergies fossiles
    • nous émettons des Gaz à Effet de Serre (GES)
    • l’insalubrité des habitats n’est pas corrigée, 
    • l’inconfort est la norme pour plusieurs millions de français… 

Bref tout cela est indigne de notre société et en grande partie dû à l’absence d’un sachant formé à l’analyse des bâtis, compétent, indépendant, non réalisateur en amont des prescriptions de travaux. 

Aucune action sur le terrain ne devrait être entreprise sans s’appuyer sur une stratégie étayée sur des faits, en réponse à des aspirations, le tout dans le cadre de capacités et faisabilités réelles…

Vous l’avez compris, je pense que cette fonction, primordiale, doit devenir notre obsession, je propose d’appeler ces futurs professionnels  des habitologues (retenez bien ce nom nouveau, nous y reviendrons souvent !).

Pour le moment, et même en l’absence d’un habitologue, visons à tendre vers des habitats vertueux et répondant aux quatre critères évoqués ci-avant et développés sommairement ci-après.

Efficace pour l’occupant

La notion même de résidence, principale ou secondaire, implique… qu’on y réside !

Elémentaire direz-vous, oui, sans doute, mais alors si c’est tellement évident, pourquoi n’est-ce pas pris en compte au niveau qui conviendrait ?

Vous trouverez des pistes de réponse dans mon article dédié à ce sujet et aux préoccupations pour les occupants.

Salubrité

La première des exigences pour les occupants me semble être de ne pas risquer de problème de santé du fait de leur présence récurrente et longue dans ce qui est leur lieu principal de vie.

Ne pas être exposé à des possibilités de pathologies liées, qui à des émanations du fait de l’utilisation de matériaux inappropriés, qui à un mauvais renouvellement d’air ou encore du fait de bruits parasites excessifs, du fait de défaut de luminosité… semble être une attente pour le moins légitime.

Conception pertinente

La vie même dans une résidence, son exploitation, impliquent qu’on s’y déplace et que l’espace doit être organisé, optimisé.

Tout ceci peut être atteint par une distribution pertinente des divers espaces, chacun ayant un emploi ou une occupation qui lui sont propres.

Les activités diverses que nous y menons impliquent la prise en compte des déplacements, des transmissions ou plutôt non-transmissions des odeurs, des bruits.

Il est aussi des moments, des temps, des activités qui imposent une certaine intimité.

Quand on sait que des contraintes techniques, particulièrement dans l’ancien, peuvent encore compliquer les choses, la prise en compte de tous ces éléments n’est pas toujours chose aisée. 

J’ai abordé ce sujet dans l’ebook : « Questions fréqentes sur l’habitat ancien : humidité, gestion de l’eau, isolation, accompagnement, murs en pierre » que je vous propose de télécharger librement.

Confort thermique

Le confort est un ressenti, sa perception en tant que lieu ou ambiance confortables sont différents selon les individus et ont largement évolué au fil du temps.

Qui accepterait aujourd’hui, sous prétexte de résider dans une maison conçue et construite il y a un siècle ou plus, d’y vivre dans les mêmes conditions qu’au moment de son édification ? Personne bien sûr, ou alors ceux qui y sont prêts ne vont probablement pas découvrir de piste intéressante sur mon blog…

Je vous propose une approche de la notion de confort dans l’ebook que j’ai écrit à ce sujet. Vous pouvez le téléchargement librement ici : « Le confort ».

Confort phonique

La vie “moderne”, dans beaucoup de lieux, est souvent perturbée par des bruits parasites émanant des activités extérieures : circulation automobile, d’avions, activités commerciales, industrielles, vie des passants…

Ce n’est pas parce que la société a évolué et que ce qu’elle implique en tant qu’émission de bruits a considérablement augmenté que nous devons l’accepter. Attendu qu’il est inimaginable que chacun, individuellement, ait un pouvoir quelconque pour limiter ces pollutions sonores, il faut, individuellement, se donner les moyens de les réduire le plus possible.

Confort lumineux

Longtemps parent pauvre, 

  • autrefois car les occupants restaient actifs seulement  ou très majoritairement aux heures naturellement lumineuses,
  • plus récemment, parce qu’on a considéré qu’il est possible de s’éclairer artificiellement via l’électricité et les moyens lumineux divers qu’elle nous permet.
Le confort lumineux
Le confort lumineux

Nous avons pris conscience, et la science l’a confirmé, que le vrai confort lumineux est plus complexe et que, plus on fait appel à la luminosité naturelle, plus grand est le ressenti de confort.

Conception bioclimatique

Afin de répondre aux besoins de luminosité évoqués ci-avant, afin de limiter le recours au chauffage ou à la climatisation, une approche bioclimatique peut contribuer à un niveau de confort très correct sans pour autant consommer beaucoup de ressources (sujet abordé ci-après § “Efficacité pour l’environnement”).

Efficace pour lui-même (le bâti)

Dans cette rubrique j’aborde le fait de devoir respecter le “fonctionnement” normal des bâtiments eu égard aux matériaux et techniques de construction qui ont prévalu lors de leur édification.

Dans sa vie propre

Ceci est particulièrement vrai pour les habitats anciens à murs en pisé, bauge, pierre, colombages à remplissages divers.

Construits sur sols meubles (peu de creusement et pas toujours d’appui sur un sol très stable du fait de réalisation exclusivement manuelle…) sans rupteur de remontés capillaires, souvent sans fondations sous forme de semelle filaire, sans liaison rigide entre les éléments porteurs que sont les piliers, les linteaux les poutres et autres, ces bâtiments anciens, comme on dit, vivent… En fait ils bougent, se déforment, ce qui leur a permis de s’adapter aux contraintes environnantes.

Tous les éléments constitutifs de ces bâtis anciens évoluent en harmonie… Il est nécessaire de conserver leurs caractéristiques et de leur permettre cette “vie” autonome.

Dans son évolutivité

Divers bâtiments anciens ont connu une évolution dans leur destination, ici une grange est devenue une résidence principale, là c’est une étable qui est devenue un séjour ou des chambres, toutes ces évolutions, ainsi que les agrandissements divers doivent être abordés en respect de ce qui précède dans le § “Vie propre”.

En terme de durabilité

Le premier des moyens de vivre de façon sobre, ou mieux encore, dans la frugalité, est de faire perdurer tout ce qui nous est nécessaire… à commencer par nos résidences !

Au plan de son entretien

Rien n’étant “éternel” ni d’une efficacité réelle illimitée dans le temps, il est nécessaire d’intervenir sur tout ce que nous utilisons.

Nos maisons et/ou appartements n’y font pas exception.

Aucun système, aussi simple soit-il, ne durera éternellement, il faut donc avoir le souci de l’installer en imaginant les accès nécessaires à son entretien, à son remplacement éventuel… sans remettre en cause leur pérennité ou celle du bâti global.

Efficace pour l’environnement

Il est incroyable que l’espèce humaine puisse croire qu’elle est tellement avancée, techniquement, philosophiquement, dans ses croyances diverses (religieuses et sociétales entre autres) qu’elle puisse se considérer hors d’appartenance, de participation, de dépendance à son environnement, détachée de son biotope, hors sol en quelque sorte !

Quelle prétention, quel manque de lucidité… Heureusement que, plus le temps passe, plus un nombre important d’humains prennent conscience de cette appartenance, de cette dépendance,… Malheureusement beaucoup de temps s’est déjà écoulé, temps pendant lequel notre espèce s’est franchement lâchée dans la démesure et l’inconséquence.

Localisation pertinente

Notre premier impact sur l’environnement et, plus particulièrement sur le relâchement de Gaz à Effet de Serre (GES) dans l’atmosphère, est… notre habitat.

Ceci est dû à l’incidence des matériaux utilisés, de leur mise en œuvre et de l’exploitation de notre résidence (chauffage, climatisation et production d’eau chaude sanitaire en tout premier lieu). 

Ces points sont connus et admis, ils sont d’ailleurs parfois pris en compte, particulièrement en ce qui concerne l’exploitation.

Un point beaucoup moins connu et pris en compte est la situation géographique de notre résidence principale, le lieu de notre implantation eu égard aux déplacements contraints qui en découlent (pour aller au travail, faire les courses, rejoindre le club de sport, emmener les enfants à l’école…) et eu égard, également, aux modes de mobilité pour ces déplacements contraints.

Consommation limitée de ressources et d’énergie

Les ressources dont nous disposons ne sont pas illimitées, pas même celles dites renouvelables ; tout nous est compté.

ressources limitées dans le bâtiment
ressources limitées dans le bâtiment..

Là encore, ce fait est assez bien reconnu pour ce qui concerne les consommations liées à l’exploitation, au chauffage, etc, mais qu’en est-il pour ce qui est des moyens mis en œuvre pour atteindre un faible niveau de consommation à l’exploitation ?

Cet aspect est le plus souvent royalement ignoré, il m’est même arrivé, pour l’avoir rappelé dans le cadre d’une réflexion de groupe, de me faire qualifier d’ignorant des réalités, d’empêcheur de tourner en rond, de trublion qui n’a pas compris la finalité des choses…

Et pourtant, plusieurs études démontrent que la réalisation des travaux, et que les consommations de ressources et d’énergie afférentes sont très loin d’être négligeables. Dit autrement, il est parfois (particulièrement pour les bâtiments à très haute performance énergétique) méconnu que les dépenses en ressources et énergie du fait des travaux et des fournitures sont supérieures aux économies générées du fait de l’exploitation améliorée.

Ce qui précède s’applique aussi bien sûr aux systèmes mis en œuvre, tel que certains systèmes de renouvellement d’air complexes dont il s’avère, au final, qu’ils ne seront jamais amortissables, à aucun titre (économique, ressource, pollution…).

Matériaux d’origine renouvelable et locale

Pour améliorer le bilan global au plan transport, pour permettre un entretien ultérieur aisé, l’origine des matériaux, tant du fait de leur composition (ressources renouvelables) que de la proximité entre l’extraction, la transformation et l’utilisation doit être aussi proche que possible.

Ces matériaux, bien sûr choisis aussi pour leurs performances, doivent être peu énergivores à la fabrication, au transport et à la mise en œuvre.

Recyclabilité

Il faut bien différencier les notions de :

  • surcyclage (recyclage qui permet d’améliorer la performance “environnementale” et de service rendu de l’objet recyclé (par exemple utiliser du bois de palette pour fabriquer des objets utiles et durables),
  • recyclage : donner une seconde vie aux objets ou matériaux, avec au passage un peu de perte d’efficacité,
  • valorisation : c’est l’ultime stade avant l’enfouissement sous forme de déchet ultime.

Par ailleurs, il faut faire attention aux communications qui présentent des solutions de recyclage de certains éléments ou matériaux, recyclage possible, mais qui, du fait des coûts engendrés ou d’autres contraintes, ne seront, dans les faits, jamais mis en place et effectifs.

Efficace pour l’humanité

Au final et attendu que nos maisons et immeubles sont édifiés pour notre service, il est important  de : “Ne jamais oublier ceux qui viendront après nous !”.

Ils auront, eux aussi, des besoins qu’il leur faudra satisfaire.

Pérennité

Puisque nous aurons consommé des ressources et de l’énergie pour construire nos habitats, puisque, dans le même temps, nous aurons relâché des GES dans l’atmosphère, veillons à ce que ces consommations et cette pollution aient un impact le plus faible possible : construisons ou aménageons pour une véritable pérennité des ouvrages.

Frugalité volontaire et heureuse

Il est tout à fait légitime de satisfaire nos besoins actuels… à condition que ce ne soient pas des lubies ou des bons plaisirs superflus. Soyons sages pour, au minimum, rester dans le cadre de constructions, aménagements et utilisations raisonnables !

Équilibre judicieux entre coût de construction et coût d’exploitation

Sous le terme “coût” je mets bien sûr le coût financier, mais pas que…

En effet, lorsqu’on parle de coût, on s’approche des notions de comptabilité.

Or nous considérons trop souvent que la comptabilité s’applique à l’économie financière seule ! Pourtant, un enfant qui dispose d’un nombre déterminé de bonbons et qui souhaite en jouir sur un nombre de jours déterminés va bien, lui aussi, mettre en équation sa ressource et en équilibrer les “débours” pour atteindre son objectif ; c’est aussi une forme de comptabilité !

Il est assez regrettable de constater que ce que des enfants sont capables de comprendre et d’appliquer à une ressource limitée, les bonbons, et à un objectif, faire durer la jouissance dans le temps, nous ne sommes pas capables de l’appliquer à nos ressources en général et, pour le cas d’espèce, les matériaux et matériels ainsi que l’énergie pour notre habitat !

Réponse à des besoins réels

Vaste sujet !

Il s‘agit ici aussi bien de prendre en compte la surface en jouissance par individu, que le nombre de résidence(s) secondaire(s) par exemple, de se demander s’il est raisonnable, sous prétexte de vivre pieds nus au sol, peu vêtus, et que nous pouvons disposer d’un chauffage au sol, de tenir le milieu ambiant à une température élevée alors même qu’il fait froid dehors…

De même, il faudra bien un jour, tel qu’abordé ci-avant, se demander où mettre le curseur, se poser la question si, au prix d’un objectif de quasi non-chauffage l’hiver nous devons à ce point privilégier une architecture de collecte du rayonnement solaire l’hiver, qu’il faille prévoir une climatisation l’été à cause… d’un excès de captation des mêmes rayonnements, sauf à prévoir des systèmes d’occultation eux-mêmes très énergivores à la fabrication et à l’installation…

bâtiments énegovores
…un excès de captation des mêmes rayonnements, sauf à prévoir des systèmes d’occultation eux-mêmes très énergivores à la fabrication et à l’installation…

Conclusion

Albert Einstein, dans un de ses bons mots, que parfois nous pourrions élever au rang de réflexion philosophique a dit un jour : “Tout devrait être aussi simple que possible, mais pas plus.

A se demander s’il n’a pas prononcé cette phrase pour nos résidences !

Quoi qu’il en soit, je fais mienne sa réflexion : tout semble simple, parfois même ça l’est, mais jamais il n’est possible, en même temps, d’échapper à une forme de complexité, ne serait-ce que dès l’instant qu’on fait une analyse globale, holistique, des objectifs vers lesquels nous tendons avec nos habitats.

De la même manière, prenons bien en compte à la fois les avantages et les inconvénients et/ou contraintes liés à nos choix de technique, de matériaux, de surface, d’architecture, de conception…

Comme souvent, il apparaît très difficile de conclure de façon formelle, tranchée et plus on avance, plus on soulève des questions… plus de questions que de réponses, mais le plus intéressant dans le voyage n’est-il pas le cheminement plutôt que la destination ?

Je vous propose des pistes de voyage au travers de quelques ebooks nourris par mon expérience mais aussi sources de réflexions, d’interrogations… je vous invite à cheminer de concert en vous téléchargeant librement mes ebooks dédiés à :

Je l’ai évoqué dans le début de ce texte, il va falloir développer la fonction d’habitologue, j’y réfléchis de longue date et, avec quelques autres professionnels, nous œuvrons dans le but de proposer des pistes…

Ressources photo : wikimédia, pxhere, pour pixabay :  Pexels  Giovanni_cg,

Claude Lefrançois


Après 30 ans dans le bâtiment, ancien charpentier, ancien constructeur, ancien maître d’œuvre, formateur dans le bâtiment, expert en analyse des bâtis anciens avant travaux, auteur de nombreux articles et d’un livre “Maison écologique : construire ou rénover” aux Ed. Terre vivante, auteur de 2 ebooks disponibles sur mon blog, je suis désormais retraité.
Je mets mon temps disponible et ma liberté d’expression à votre service : j’observe et j’analyse, au besoin je dénonce ou émet des idées.
Bonne lecture.

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